Le premier trimestre de 2024 a vu se poursuivre la remontée des marchés boursiers, alors que les titres à revenu fixe ont connu une période plus difficile. Dans le dernier épisode du balado Parlons placements, Greg Sweet, premier directeur de Placements Scotia, s’entretient avec le vice-président et gestionnaire de portefeuille principal Craig Maddock et le gestionnaire de portefeuille Wesley Blight, de l’équipe Gestion multi-actifs. Ensemble, ils repassent les événements ayant marqué le début de 2024, notamment les tendances de l’inflation aux États-Unis et au Canada ainsi que la dynamique des marchés mondiaux, et font leurs prévisions sur ce que nous réserve le reste de l’année.
Désignation des conférenciers :
GS Gregory Sweet
CM Craig Maddock
WB Wesley Blight
IP Voix hors champ
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GS Bienvenue à nos auditeurs. Je m’appelle Greg Sweet et je suis directeur général de Placements Scotia Inc. Aujourd’hui, nous aimerions vous présenter une nouvelle baladodiffusion pour continuer d’aider nos clients à prendre des décisions financières importantes.
Le premier trimestre de 2024 est maintenant terminé. Les marchés boursiers ont poursuivi leur remontée. J’aimerais que nos gestionnaires de portefeuille nous parlent de ce qui s’est passé jusqu’ici en 2024 et de ce que nous pouvons attendre d’ici la fin de l’année.
J’ai demandé à l’équipe de gestion multiactifs de Scotia de discuter avec moi aujourd’hui et voici nos invités spéciaux. Craig Maddock, gestionnaire de portefeuille principal et chef de l’équipe de gestion multiactifs, ainsi que Wesley Blight, vice-président et gestionnaire de portefeuille au sein de l’équipe de Craig. Bienvenue, Craig et Wes. Merci encore d’être ici.
Comme nous l’avons mentionné, la tendance haussière des marchés boursiers s’est poursuivie au premier trimestre, les indices mondiaux ayant atteint des sommets records. Qu’est-ce qui a favorisé le rendement du marché au cours des premiers mois de l’année?
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CM Et bien, la récente remontée des marchés boursiers du T4 au T1 peut être attribuée à la poursuite des mêmes thèmes. Il y a l’inflation. Après la flambée causée par la pandémie, l’inflation se rapproche maintenant nettement des cibles des banques centrales, qui sont d’environ 2 %. Même si nous n’avons pas encore atteint cette cible, elle est certainement beaucoup plus proche de 2 % que de 10 %. C’est évidemment un signe positif.
De plus, nous avons observé une performance de l’économie. Malgré certaines difficultés, l’économie continue actuellement de bien se comporter, en particulier aux États-Unis. Cela nous porte à croire qu’un atterrissage en douceur est possible et que les banques centrales peuvent ramener l’inflation à leur cible d’environ 2 % sans perturber fondamentalement l’économie. C’est plutôt intéressant.
Les participants aux marchés s’attendent à ce que les politiques restrictives puissent être assouplies, en lien, bien sûr, avec les baisses de taux d’intérêt. Ces réductions étaient initialement prévues pour la première moitié de l’année, mais, malgré tout, le calendrier est assez flexible. Ensuite, les grandes banques centrales, en particulier la Réserve fédérale américaine, devraient commencer à le faire plus tard cette année.
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Enfin, il y a l’humeur des marchés. Ces perspectives favorables ont alimenté l’euphorie sur les marchés boursiers. On croit généralement que nous éviterons miraculeusement une récession aux États-Unis. Les sociétés devraient continuer d’améliorer leur rentabilité et la capacité des consommateurs à dépenser demeure robuste.
La convergence de ces facteurs a contribué à l’optimisme à l’égard de l’économie et du marché boursier.
Nous avons ensuite un dernier élément qui est en quelque sorte la cerise sur le gâteau. C’est l’intelligence artificielle. L’intelligence artificielle continue d’évoluer et semble en mesure de remplacer non seulement l’intelligence traditionnelle, mais aussi le travail traditionnel. Son rôle consiste à combler les lacunes et, en théorie, à rendre les entreprises plus efficientes. L’intelligence artificielle peut remplacer une main-d’œuvre coûteuse dans un large éventail de domaines. Cette situation, combinée aux progrès technologiques, suscite un enthousiasme qui se propage sur le marché. C’est l’une des raisons pour lesquelles les marchés boursiers ont atteint des sommets records.
Cet optimisme persistant repose sur deux facteurs clés. Il y a d’abord les perspectives économiques et les attentes selon lesquelles l’économie restera stable. Deuxièmement, la croissance sectorielle. Certains secteurs, en particulier les technologies aux États-Unis, devraient procurer des avantages à long terme. Toutefois, il est essentiel de reconnaître que tout est peut-être évalué à la perfection et que, par conséquent, le risque inhérent réside dans la possibilité que nous n’atteignions pas cette perfection insaisissable après tout.
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GS Bien que le laps de temps écoulé soit court, comment les solutions de portefeuille de la Banque Scotia se sont-elles comportées depuis le début de l’année?
BB Dans l’ensemble, nous avons connu un excellent début d’année au premier trimestre. La distinction entre les stratégies axées sur le revenu et les stratégies axées sur les actions est un élément clé à retenir. À long terme, ces approches s’harmonisent différemment. Elles ciblent des rendements totaux différents.
Maintenant, les stratégies axées sur le revenu ont une pondération plus élevée de titres à revenu fixe. Ils ont tendance à produire des rendements inférieurs à ceux des actions. Cela correspond directement à nos hypothèses à long terme à l’égard des marchés financiers. C’est ce qui s’est produit au dernier trimestre.
En revanche, les stratégies axées sur les actions, celles dont la pondération en actions est la plus élevée, se sont remarquablement bien comportées. Ce rendement supérieur est en fait supérieur à nos hypothèses à long terme sur les marchés financiers et souligne le contexte positif dont Craig a parlé au début.
En ce qui concerne les obligations, les rendements des titres à revenu fixe du mandat universel canadien et de l’indice de référence ont été négatifs depuis le début de l’année. Toutefois, en raison des stratégies actives que nous avons mises en œuvre dans nos portefeuilles axés sur les titres à revenu fixe, en mettant l’accent sur une duration plus courte et en augmentant la pondération des titres de créance, nous avons été en mesure d’atténuer en partie les effets négatifs de la hausse des taux obligataires au début de la nouvelle année.
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Notre positionnement sur l’ensemble de la courbe de rendement et notre positionnement sur le plan de la duration ont contribué à préserver le capital, car les taux obligataires ont augmenté, ce qui a entraîné des rendements légèrement négatifs pour les titres à revenu fixe. Cette approche profite à nos portefeuilles actifs et n’a peut-être pas été aussi avantageuse pour tous les investisseurs en titres à revenu fixe sur le marché canadien.
En résumé, nos solutions de portefeuille, en particulier celles axées sur les actions, ont dépassé nos prévisions à long terme au cours du trimestre, et ce, grâce à la solide performance des marchés boursiers.
GS Pensez-vous que ce rendement se poursuivra au T2 ou y a-t-il un risque de surévaluation aux niveaux actuels?
CM Il s’agit d’une question importante que de nombreux investisseurs se posent. Cette forte tendance se poursuivra-t-elle au cours des prochains trimestres? Peut-être pas, compte tenu de la performance rapide et robuste des derniers mois. En fait, par rapport à nos hypothèses à long terme, nous sommes actuellement en avance sur la courbe, ce qui ne rend pas nécessairement les actions plus susceptibles de corriger à partir de maintenant, mais cela pourrait rendre les choses plus douloureuses si elles le font.
Mais lorsqu’on discute des marchés boursiers, je pense qu’il est essentiel de tenir compte de l’ensemble du portefeuille, qui comprend à la fois les actions et les titres à revenu fixe, que nous utilisons pour équilibrer l’ensemble du portefeuille.
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GS Comme Wes l’a mentionné plus tôt, la situation n’a pas été aussi positive au cours du trimestre. La tendance s’est inversée par rapport à l’an dernier et les indices obligataires ont clôturé en territoire négatif. Quelle est la raison de ce rendement?
WB Au début de l’année, les attentes des participants au marché étaient plus élevées. Ils s’attendaient à d’autres réductions de taux par les banques centrales, au-delà de ce que nous avions initialement prévu. De plus, les participants au marché se sont rendu compte que ces baisses de taux par les banques centrales ne se concrétiseraient vraisemblablement qu’à la seconde moitié de l’année, soit moins que ce à quoi ils s’attendaient au début de l’année. Les taux obligataires ont finalement augmenté.
Comme nous croyions qu’il y aurait moins de réductions que ce que le marché supposait, nous avons décidé de positionner nos portefeuilles de façon plus défensive en réduisant la duration.
De plus, nous avons continué de surpondérer les titres de créance, et l’approche stratégique que nous avons adoptée cadre avec le discours de Craig sur les rendements supérieurs des marchés boursiers. En augmentant la pondération des titres de créance dans l’ensemble de nos placements en titres à revenu fixe, nous avons non seulement préservé le capital, mais aussi ajouté de la valeur à l’échelle du portefeuille.
En fin de compte, alors que l’interprétation des mesures de politique monétaire par le marché s’est déroulée rapidement au début du trimestre, pensez à janvier et à février, nous avons été en mesure de tirer parti des titres à revenu fixe pour saisir l’occasion de préserver le capital, et notre processus souple nous permet de nous adapter rapidement si les choses continuent d’évoluer, ce qui nous permet de profiter des avantages qui se présenteront.
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GS Il a beaucoup été question des sept magnifiques sociétés récemment et de leur influence sur la dynamique des marchés. Considérez-vous cette concentration comme un risque et comment positionnez-vous nos portefeuilles pour gérer ce risque?
CM Une partie de l’augmentation du risque réside dans cette concentration croissante de la capitalisation boursière au sein d’une poignée de sociétés. Lorsqu’une part importante du marché dépend de ces quelques titres, leur rendement devient déterminant pour la trajectoire globale. Et, soyons francs, les marchés peuvent donner l’impression d’être évalués à la perfection et de bénéficier d’un optimisme débordant, mais la situation est un peu plus nuancée.
Réfléchissez. Au début, nous avions les titres FANG, Facebook, Amazon, Netflix et Google, mais au fil du temps, ce groupe a évolué pour inclure Microsoft, Tesla, Apple, tout en laissant tomber Netflix et en ajoutant Nvidia. Bien qu’il n’ait pas inscrit un rendement aussi élevé cette année, ce groupe est demeuré extrêmement influent. Et, bien sûr, Nvidia continue de progresser.
La composition de ce groupe d’élite change donc considérablement. L’idée que ces sept sociétés contrôleront le monde à tout jamais est erronée. De nouveaux joueurs font leur apparition. Les géants actuels s’adaptent. Par conséquent, le risque consiste à surévaluer ces sociétés, en supposant qu’elles maintiendront leur perfection perpétuelle.
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Bien sûr, la concentration est une bonne chose durant l’ascension, mais pour ceux qui se souviennent de l’effondrement de la bulle des TI dans les années 2000, un vrai mot émerge : le risque. Notre approche est différente. Nous ne limitons pas les portefeuilles à seulement sept actions. Nos portefeuilles sont composés de centaines d’actions différentes, de styles choisis, de personnes, d’équipes et de processus différents pour les sélectionner et déterminer ce qui est sensé aujourd’hui et le sera demain.
Nous ne cherchons donc pas à surpondérer ou à privilégier un groupe particulier de sociétés ou d’actions dans nos portefeuilles. Maintenant, il est vrai que si un client veut faire cela seul, je lui conseillerais de faire preuve de prudence. Mais en ce qui nous concerne, nous gérerons toujours un portefeuille bien diversifié.
GS L’inflation reste au cœur des préoccupations des investisseurs et des banques centrales. Les prévisions de croissance de l’économie américaine ont également augmenté au premier trimestre. Pensez-vous que la Fed sera toujours en mesure de réduire les taux dans ce contexte?
WB L’inflation a certainement été plus forte que ce que de nombreux participants aux marchés et même nous avions prévu, en particulier les composantes de base de l’inflation. L’inflation globale domine l’actualité. C’est ce que nous continuons de voir dans les manchettes. Mais c’est l’inflation de base qui compte vraiment. De plus, les prix des logements, tant aux États-Unis qu’au Canada, sont demeurés élevés pour des raisons structurelles. Par conséquent, le retour aux cibles d’inflation à long terme des banques centrales a pris plus de temps que prévu.
Toutefois, cela soulève un point intéressant, en ce sens que les perspectives prospectives des banques centrales continuent d’indiquer une baisse de l’inflation prévue, ce qui cadre avec leurs prévisions à l’égard du marché. Ceci est également conforme aux prévisions des économistes.
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De toute évidence, nous nous sommes éloignés du sommet de l’inflation et, à l’avenir, l’inflation devrait diminuer graduellement. Cela donne aux banques centrales la possibilité d’envisager des baisses de taux dans la seconde moitié de l’année. Il faudra peut-être encore plus de temps avant que les changements apportés par les banques centrales aient l’effet désiré sur l’économie, car il faudra du temps avant qu’ils ne se concrétisent. Le passage d’une baisse des taux à une baisse de l’inflation se produit aujourd’hui.
Pensez à la fin de 2023. Les banques centrales ont commencé à indiquer qu’elles allaient réduire les taux, et c’est vraiment la même chose qu’elles ont faite lorsqu’elles ont commencé à relever les taux en 2021. Elles ont d’abord commencé à dire qu’il fallait relever les taux. Elles ont finalement relevé les taux. Nous nous trouvons actuellement dans la même situation, en ce sens qu’elles vont réduire les taux et indiquent qu’elles vont le faire, mais nous devons faire preuve de patience pour que ce cycle commence.
CM Cette discussion me ramène à un point que j’ai brièvement abordé au début, mais que je n’ai pas vraiment approfondi. C’est cette idée d’un atterrissage en douceur, un scénario où l’économie se stabilise à un taux de croissance raisonnable et où l’inflation diminue également. La Réserve fédérale américaine a déjà discuté de ce concept d’inflation transitoire. De nombreuses personnes ont interprété cela comme signifiant que l’inflation reviendrait rapidement à ses niveaux précédents, comme par magie.
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Mais je crois qu’il y a un sous-entendu subtil à ce concept de transitoire. Cela donne à penser que le taux directeur n’a pas nécessairement contribué à stimuler ou à réduire l’inflation. Au lieu de cela, nous travaillons simplement sur la dynamique de l’offre, comme la sortie de notre confinement à domicile induit par le COVID. Cela nous amène à une question intéressante. Pouvons-nous affirmer avec une certitude totale ou même un degré élevé de confiance que la Réserve fédérale devra réduire les taux d’intérêt?
Habituellement, la Fed abaisse les taux parce que l’économie est au point mort, est entrée en récession et a besoin d’un coup de pouce. Mais que se passera-t-il si l’économie ne fait jamais du surplace et n’a pas besoin d’un coup de pouce? Pourquoi au juste aurait-elle besoin de réduire les taux si l’économie fonctionne bien? Par conséquent, si les gens sont prêts à emprunter et qu’ils sont en mesure de le faire et que le coût plus élevé de l’emprunt ne s’avère pas trop restrictif, il n’est pas nécessaire d’adopter une politique plus restrictive. Il s’agit peut-être de la nouvelle neutralité.
Et c’est le débat en cours sur les marchés. La Fed réduira-t-elle les taux? Nous pensons qu’elle le fera probablement un peu, mais le fera-t-elle autant que les gens le pensaient? En tout cas, ça ne semble pas être le cas actuellement.
GS Qu’en est-il de la situation au Canada? L’inflation a ralenti davantage ici qu’aux États-Unis. Les taux baisseront-ils et quand?
WB Nous avons observé un ralentissement de la croissance au Canada et nous nous attendons à ce qu’il se poursuive par rapport à la croissance plus résiliente et robuste observée aux États-Unis. Selon nous, ce ralentissement de la croissance aura pour effet que l’inflation continuera de diminuer et de ralentir plus rapidement au Canada qu’aux États-Unis.
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À notre avis, cela incitera probablement la Banque du Canada à réduire son taux directeur plus rapidement, puis à le ramener à un taux neutre plus bas, c’est-à-dire l’équilibre à long terme, que ce que Craig vient d’évoquer aux États-Unis. Nous croyons donc que ces changements se produiront.
Toutefois, la Banque du Canada doit tenir compte de certains autres facteurs et, en fin de compte, elle pourrait accélérer de nouveau l’inflation par le biais du logement, car nous savons que l’écart entre l’offre et la demande de logements au Canada est encore assez important.
Or, nous avons cette offre insuffisante en raison de la demande soutenue qui maintient les prix des logements à des niveaux élevés au Canada, et si vous voyez le taux de la Banque du Canada baisser, ce qui est le cas, il est possible que nous assistions à une réaccélération du problème des prix des logements que nous connaissons depuis au moins le milieu des années 2000.
Je pense que la Banque du Canada réduira les taux de façon plus énergique, mais il y a une limite à la vitesse à laquelle elle peut le faire par rapport à ce que la Réserve fédérale américaine peut faire.
GS Lors de notre dernier balado du quatrième trimestre, nous avons parlé de certains Canadiens qui ont malheureusement quitté le marché durant la période de volatilité en 2022 et qui ont peut-être eu beaucoup de mal à réintégrer le marché. Maintenant que nous avons observé d’importantes remontées, est-il trop tard pour ces investisseurs?
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CM En supposant qu’il s’agit d’investisseurs à long terme, ces personnes cherchent à participer à la croissance du marché pendant des décennies, plutôt que de se concentrer sur le prochain trimestre. Mais, comme nous l’avons récemment mentionné, il existe une volatilité potentielle en raison des incertitudes entourant l’inflation ou d’autres dynamiques du marché, ce qui peut causer des hauts et des bas.
Toutefois, je conseille à ces investisseurs à long terme de ne pas trop y penser ou essayer de prédire ces fluctuations du marché. Même pour nous, les professionnels, il est particulièrement difficile d’anticiper l’évolution des marchés. Il est encore plus difficile pour un investisseur individuel de prévoir parfaitement son entrée ou son retour sur les marchés.
Il n’est donc pas trop tard pour investir. Si vous avez une perspective à long terme et que vous utilisez une méthode de portefeuille, il n’y a aucune raison de ne pas être sur le marché aujourd’hui. Et, bien sûr, si vous êtes déjà sur le marché, il n’y a aucune raison pour que vous ne continuiez pas à investir. Je dirais donc que si vous avez beaucoup d’argent en attente, il est préférable de revenir sur le marché. Et, bien sûr, vous pouvez certainement travailler avec votre conseiller pour élaborer un plan qui répond le mieux à vos besoins.
Au bout du compte, ce qui compte vraiment, c’est que les clients investissent dans la bonne stratégie et s’y tiennent. Cette approche offre la probabilité la plus élevée de réaliser votre objectif à long terme. Il ne s’agit pas vraiment d’anticiper parfaitement le marché, mais plutôt de conserver ses placements et de récolter les fruits au fil du temps.
00:16:14
GS Parfait, Craig et Wes, je pense que c’est probablement le moment idéal pour clore notre conversation aujourd’hui. J’aimerais vous remercier tous les deux de nous avoir fait part de vos points de vue. Notre objectif est de fournir des conseils pour l’avenir.
À nos auditeurs, merci beaucoup d’avoir consacré du temps à écouter cette discussion aujourd’hui. Merci beaucoup et continuez à investir.
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